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Harmonews

Ce que disent les ET des Chemtrails

22 Juin 2014 , Rédigé par Marc Gakyar

Les ET ont été clairs sur le sujet : Il n'y a plus de "chemtrails" (épandages externes chimiques ou biologiques) de nos jours. Les images souvent montrées aujourd'hui n'en sont pas ou datent de l'époque où ces épandages existaient, ce qui est observé à leur actuelle sont des "contrails" (fumées d'échappement) mal interprétées.

Les ET expliquent que ces contrails ne sont pas toujours normales puisque les compagnies aériennes utilisent des additifs dans leur carburant, produits parfois interdits/non déclarés qui peuvent être nocifs à haute dose (mais pas dangereux à notre niveau puisque la dilution est importante).

C'est là qu'il y a confusion entre chemtrails et contrails : les chemtrails étaient des programmes militaires visant à tester des armes, alors que les contrails chimiques ont des raisons commerciales puisque les additifs visent à faire consommer moins de carburants aux avions, et ce souvent de manière illégale.

Il est important de rajouter et de relever aussi que la composition chimique de l'atmosphère change avec l'arrivée de la planète X dont le nuage de débris périphérique contient des hydrocarbures sous forme de gouttelettes. Ces produits balayent la planète tous les jours (comme les météorites) et restent en suspension, puis sont consommés avec l'air dans les moteurs d'avion.

Forcément qu'à la sortie des tuyères, il y a des produits chimiques nouveaux, car si on mélange du kérosène, des hydrocarbures complexes et des additifs, cela forme une belle soupe chimique.

Le problème, c'est qu'il y a toujours des personnes mal intentionnées pour utiliser ce domaine comme propagande, et faire prendre les uns (les contrails anormaux) pour les autres (des essais militaires = chemtrails). Le but est de vous désinformer. Dans ces cas, ces gens entretiennent la confusion entre les deux types parce qu'ils ont un fort intérêt à le faire.

Dans les contrails anormaux, il n'y a pas de pulvérisateurs externes, ce sont les moteurs des avions qui pulvérisent les produits chimiques via leurs gaz d'échappement : c'est pour cela qu'on appelle cela des "condensation trails".

Dans les chemtrails, il y avait des pulvérisateurs de produits extérieurs au moteurs, dans des citernes séparées (planquées dans les soutes) comme on le fait pour les épandages agricoles, produits disséminés ensuite via des conduites dans les ailes ou la queue. C'est pour cela qu'on appelait ça des chemical trails : les produits en sont pas véhiculés dans les gaz d'échappement des appareils et sortent pas les moteurs.

Confondre les deux emmène sur de mauvaises pistes puisque ces deux types de "trails" n'ont pas les mêmes auteurs et pas les mêmes "objectifs". Pourquoi entretenir la confusion dans ce cas : les chemtrails étant un programme clos, il n'existe plus aucune preuve matérielle qui pourraient être utilisées contre leurs auteurs. ll n'y a donc plus de risques aujourd'hui à en parler ouvertement. En revanche, l'arrivée de la planète x et les changements chimiques de l'atmosphère sont graves. Le but est donc d'utiliser les chemtrails comme couverture à ces changements, car il vaut mieux utiliser un programme révolu que d'avouer l'existence de la planète X.

Les changements chimiques dans l'atmosphère sont détectables, la preuve dans les cheveux d'anges qui tombent de plus en plus souvent un peu partout. Ces "cheveux" qui forment comme des fils granuleux et blancs sont des fils d'araignées qui sont envoyés en haute altitude par les vents et qui, par capillarité, captent les micro-goutelettes d'hydrocarbures complexes déposées par la planète X. Or, les études chimiques démontrent sans aucun doute possible que de tels produits composent ces fils.

Face à cette preuve flagrante qu'il y a bien des composés chimiques anormaux, le Cover-up, les des-informateurs institutionnels, poussent à croire que ces produits sont le résultat de programmes d'épandages gouvernementaux secrets. Après tout, ce sont des hydrocarbures, des composés organiques de la même famille que ceux que nous utilisons en carburants et qui se retrouvent dans les gaz d'échappement de nos véhicules, avions compris.

Cela fonctionne d'autant mieux que les chemtrails ont effectivement existé et que le public a du matériel pour illustrer cette confusion. Sont alors rendus publics ou réactualisés des documents de l'époque où ces chemtrails étaient actifs (avant 1993). Ensuite, il est facile aussi de pousser les gens dans ce sens, notamment à cause d'un trafic aérien devenu intense (d'où les trainées très nombreuses qui s'entrecroisent et parsèment notre ciel comme jamais), de points techniques ignorés du grand public (la condensation formée par les nouveaux appendices aérodynamiques), ou tout simplement parce que les contrails sont eux mêmes anormaux à cause de Nibiru (ils sont trop persistants, voire colorés à cause des produits chimiques issus du nuage de débris de la planète X)

Il existe également, comme je viens de l'évoquer brièvement, un autre point qui, pour les néophytes, conduisent à une confusion entre les deux types de traînées : les appendices aérodynamiques, qui ont été ajoutés sur tous les avions et qui visent à améliorer les écoulements d'air en bout et au milieu des ailes, provoquent très souvent des effets de condensation de la vapeur d'eau. Pour l'observateur, il y a visuellement la vision de traînées blanches qui semblent sortir du milieu ou du bout des ailes notamment. A haute vitesse, les petits ailerons ajoutés pour faciliter l'aérodynamique (notamment l'écoulement des flux d'air sur les surfaces planes) provoquent des compressions sur leur arrête avant, compression qui extrait la vapeur d'eau de l'air. Ce phénomène laisse une trainée blanche épaisse et dense ressemblant à de la brume voire de la fumée dans le sillage de l'appareil, mais ce n'est au final que de l'eau et dépend grandement de l'hygrométrie ambiante. Ce phénomène de séparation de la vapeur d'eau hors de l'air est très visible sur les avions de chasse lors de manœuvres serrées, on voit très nettement la vapeur se former sur les ailes. Ce n'est pas différent sur les avions de ligne.

Les rumeurs de modification du climat via des chemtrails sont donc infondées : tout d'abord parce qu'il n'y a plus de pulvérisateurs externes sur les avions. S'il y a pulvérisation de quelque chose, il faut que cela passe par les moteurs, ce ne sont pas techniquement des "chemtrails" au sens strict du terme, mais des contrails (des sorties de gaz des moteurs). Dans ce cas, les produits devraient alors être ajoutés comme additifs dans le carburant. Or d'un point de vue physique, il faudrait qu'ils résistent à la combustion mais aussi qu'ils soient déversés en quantité suffisante, ce que ne permet pas la capacité globale des réservoirs des avions (le kérosène nécessaire pour faire le voyage est trop volumineux). De ce point de vue, ces pulvérisations par les moteurs, si elles étaient possibles, seraient une goutte d'eau dans l'océan et ne seraient jamais assez suffisantes pour changer quoi que ce soit.

Si les traces des avions persistent, c'est donc pour des raisons toutes autres : le changement de la composition chimique de la haute atmosphère à cause du nuage de Nibiru, et ensuite l'utilisation d'additifs interdits dans les carburants d'avion pour des raisons commerciales et de rentabilité.

Parlons maintenant des vraies Chemtrails. Ceux-ci, comme les ET l'ont précisé, faisaient partie d'un vaste programme d'essais d'épandages chimiques/biologiques qui ont débutés suite à la guerre du Vietnam. Lors de cette guerre, de nombreuses pulvérisations, notamment du tristement célèbre agent orange (un défoliant visant à détruire la forêt tropicale qui servait de refuge aux armées Vietcongs), ont donné l'idée au MJ12, à la CIA et à l'armée américaine de tenter de réaliser ces épandages sur de grands territoires pour en faire des armes de destruction massive.

Pour la CIA, il s'agissait d'abord de tester des agents chimiques psychoactifs, notamment des agents chimiques de contrôle des foules (calmants, excitants, hypnoïdes etc...). Cependant, le problème numéro un est le caractère volatile de ces composés : si un poison tue et n'a plus besoin de tenir ensuite dans le temps après avoir tenu son rôle, l'agent chimique de contrôle des foules est plus fragile et doit perdurer afin d'avoir une efficacité sur les populations. Si ces pulvérisations peuvent éventuellement changer le comportement de certaines personnes pendant 10 minutes, la dilution naturelle des gaz dans l'air fait que le composé devient rapidement inefficace, sans parler de sa détérioration dans le milieu ambiant. Pour contrer cela, il faut utiliser des quantités gigantesques de produits et dans ces conditions, il est impossible de maintenir le contrôle sur le long terme vu la quantité à déverser quotidiennement.

Deuxième raison à l’inefficacité de ces composés, c'est que les humains ne sont pas régis seulement par des mécanismes chimiques : une forte portion de la population résiste à ces tentatives de manipulation biochimique. L'âme/la volonté, joue un rôle de garde barrière, il est impossible de dicter le comportement des gens quand leurs motivations sont spirituelles et profondes.

Par exemple, une révolte est toujours motivée par des considérations philosophiques, la souffrance, des injustices, et les personnes qui sont en rébellion ne perdent pas leur motivation simplement parce qu'on leur fait respirer des psychotropes, même très efficaces d'un point de vue pharmaceutique.

Il existe, à côté de cela, de nombreux projets secrets d'armes biologiques/chimiques de destruction massive, notamment des projets qui font suite aux désirs obsessionnels de mettre au point la fameuse arme ethnique. Cette arme biologique a pour principe de tuer sélectivement les individus en fonction de leur "race" (voir Projet COAST). N'oublions pas que le MJ12 et la CIA (en accord avec de nombreux Républicains américains) sont profondément racistes et qu'un de leurs souhaits aurait été d'éradiquer la population noire (voire asiatique), aussi bien en Afrique que sur le territoire US. C'est dans cette recherche qu'entrent en scène les chemtrails.

Ces pulvérisations étaient effectuées par des avions militaires déguisés en avion de ligne et/ou des avions de ligne appartenant à des couvertures de la CIA, afin de tester les produits en question, qu'ils soient chimiques ou biologiques. Les doses étaient savamment calculées pour ne pas être mortelles ou les virus/bactéries désactivés : les populations parfois malades gardaient des traces des agents chimiques/biologiques dans leur corps, et sous couvert d’enquêtes épidémiologiques, les résultats des tests étaient récupérés pour analyse.

Souvent, les zones tests n'étaient pas choisies au hasard, et ce fut notamment le cas des zones où il y a eu de nombreuses mutilations de bétail. Ces tests portaient notamment sur la mise au point du nano anthrax, car les animaux y sont aussi sensibles que les humains, l'anthrax étant une maladie commune à de très nombreuses espèces.

Dans les zones pulvérisées, le nano-anthrax ayant la capacité de pénétrer profondément les tissus vivants, ces groupes de recherche dirigés par la CIA utilisaient la nuit des hélicoptères noirs équipés de silencieux (des appareillages en forme de sphères qui se fixent au dessus du rotor principal). Ils n'avaient plus alors qu'à curariser les animaux en toute discrétion, les hisser dans les hélicoptères spécialement équipés de scalpels électriques puis plus tard à laser, et de prélever proprement les parties clés de l'animal pour y mesurer les concentrations de nano-bacilles, puis de jeter les carcasses en vol : les poisons se trouvent concentrés essentiellement dans les muqueuses de la bouche, la langue (les vaches mangent l'herbe contaminée) et dans les organes génitaux (contamination par le sang, ces organes étant les plus irrigués) ou l'anus (dernière étape de la digestion).

Ces chemtrails ont démontré que le nano-anthrax est difficile à maîtriser et peut contaminer des zones non désirées pendant des dizaines d'années, ce qui l'a rendu délicat à l'usage (heureusement pour nous). Un vaccin existe, donc l'utilisation sur les populations ne pose pas de souci, il suffit de vacciner les gens que l'on veut voir survivre. En revanche, les animaux seraient exterminés (tous les mammifères seraient touchés mortellement), ce qui pose un problème de ressources alimentaires/environnemental. C'est la peur de perdre tous les mammifères des zones contaminées qui a empêché jusqu'à présent l'utilisation de cette arme extrêmement dangereuse.

Le nano anthrax a été fabriqué en quantité industrielle lors des années Bush de 1989 à 1992. Il n'était pas encore au point les années précédentes. La production a cessé sous l'ère Clinton mais les essais et la recherche ont repris sous la présidence Bush fils dès 2001. Entre temps, les stocks ont été déplacés et sont gardés par la CIA : ces stocks échappent aujourd'hui entièrement au contrôle de l'état fédéral américain et de l'armée US, la CIA les ayant transféré à sa branche secrète qui se finance par le trafic de drogue mondial et n'a aucun compte à rendre à personne.

Quant aux Chemtrails, ils ont été stoppés dès l'arrivée de Clinton au pouvoir en 1993 et n'ont jamais repris depuis. Les épandeurs fixés sur les avions militaires ont été démontés et stockés dans des zones secrètes et peuvent resservir à tout moment.

Cette option n'a pas été évoquée récemment et ces groupes extrémistes blancs à vues génocidaires se sont orientés vers d'autres options, comme les virus. La grippe A fut d'ailleurs une de leurs tentatives et ils n'en sont pas à leur coup d'essai en la matière. Ebola et le virus du SIDA sont deux de leurs inventions, comme le prouvent les enquêtes sérieuses qui ont été faites sur l'origine douteuse de ces virus. Plus besoin de chemtrails, une contamination localisée est suffisante : pour la grippe A, il a suffit de contaminer la cantine d'une seule école au Mexique pour mettre en danger toute la planète.

L'effet de compression de la vapeur d'eau sur zones de friction avec l'air sur les avions de chasse

L'effet de compression de la vapeur d'eau sur zones de friction avec l'air sur les avions de chasse

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